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PARASITE INTESTINAUX : beaucoup plus fréquents qu’on ne pense

La pensée de son corps habité par des organismes vivants capables d’infester nos intestins puis de migrer dans d’autres parties du corps telles que les poumons, le foie ou le cerveau n’est pas très agréable. Je vous recommande cependant de continuer à lire car votre santé pourrait en dépendre. 

Avez vous des problèmes intestinaux aigus et récurrents ou chroniques qui semblent résister à tout traitement ? Avez vous en alternance diarrhée et constipation, douleurs et crampes abdominales, selles nauséabondes, gaz et ballonnements, vomissement, sang dans les selles, nausées, perte de poids, refroidissement, fatiguent excessive, douleurs articulaires et/ou musculaires, allergies, grincements de dents, maladie auto-immune….Cette liste n’est pas exhaustive. Vous n’aurez pas tous les symptômes non plus. Avec une analyse de selles faire dans un laboratoire hautement spécialisé dans la détection des parasites et l’aide de votre thérapeute, à condition qu’il connaisse bien ce problème, vous pourrez détecter la présence éventuelle de ces organismes, les éradiquer et éviter une réinfestation par certaines règles d’hygiène et surtout par le renforcement de vos défenses immunitaires. 

Les symptômes causés par la présence de parasites peuvent se localiser au niveau intestinal mais ils peuvent être systémiques c’est à dire se manifester dans d’autres endroits du corps, ou être d’ordre général comme la fatigue, la perte de poids excessive ou au contraire la difficulté à perdre du poids. De plus certains parasites restent dans les intestins alors que d’autres s’installent dans d’autres parties du corps. 

Un article du JAMA (Journal of the American Medical Association) projette qu’en 2025 plus de la moitié de la population mondiale serait infectée par des parasites ! Etonnant, non ? D’après plusieurs sources statistiques nous sommes déjà bien avancés dans cette direction. 

Cet article a pour objet de vous expliquer brièvement (car c’est un sujet qui mérite la longueur d’un livre) pourquoi nous en sommes arrivés là, quels sont les signes qui pourraient nous donner à soupçonner la présence de parasites, par quels tests de laboratoire on peut confirmer leur présence, comment les éliminer, comment prévenir l’infection par les parasites. 

Les parasites 

Les parasites peuvent essentiellement se diviser en deux familles : les protozoaires et les helminthes. Les protozoaires sont microscopiques, invisibles à l’oeil nu, formés d’une seule cellule. Les helminthes ou vers peuvent appartenir à la famille des nématodes, des cestodes (vers solitaires) ou des trématodes (douves). Ils peuvent pénétrer dans notre organisme par la peau, la bouche, les organes génitaux et les voies respiratoires. Les sources d’infection sont les suivantes : la terre, les légumes, le porc, le boeuf, les poissons, les mouches, moustiques et insectes, les selles, les déjections canines et félines, les transfusions. 

Les protozoaires

Bien que minuscules et unicellulaires ces organismes peuvent se reproduire très rapidement dans les intestins de leur hôte et migrer dans d’autres parties du corps. Certains protozoaires développent des kystes dans lesquels ils se logent pour être transportés via les aliments et l’eau. Les niveau habituels de chlore dans l’eau ne sont pas suffisants pour les éradiquer. Sous cette forme ils sont résistants aux acides digestifs. En voici quelques-uns des principaux.

Les amibes

Toutes ne sont pas forcément pathogènes, c’est à dire que leur présence ne donnera pas automatiquement des symptômes. Voici quelques noms : Entamoeba histolytica, Entamoeba coli, Endolimax nana. Elles se transmettent par les aliments, l’eau, les mouches ou les cafards. Elles s’installent dans l’intestin où elles se multiplient et peuvent migrer vers le foie, les poumons, et le coeur. Les symptômes comprennent crampes et douleurs abdominales, selles molles, constipation, fatigue. Dans les cas sévères il peut y avoir formation d’abcès dans le foie, les poumons ou le cerveau. Certains cas d’allergies alimentaires peuvent provenir de la présence d’amibes. D’après un chercheur britannique, R.Wyburn-Masson, MD PhD, la polyarthrite rhumatoïde serait causée par la présence de l’Endolimax nana. 

Giardia lamblia

Les kystes sont transmis par l’eau et les aliments. Les chiens, les chats et les perroquets peuvent en être porteurs et les transmettre à l’homme. La contamination peut se faire par des pratiques sexuelles orales/anales. Une fois que le kyste arrive dans les intestins il peut prendre une autre forme dans son stade de développement (il devient un trophozoïde), et par le moyen d’un disque de succion peut adhérer à la muqueuse intestinale. Ceci perturbe son bon fonctionnement et affecte l’absorption et l’assimilation des nutriments. Les symptômes peuvent être plus ou moins sévères : diarrhée alternée avec constipation, douleurs et crampes abdominales, fièvres, maux de tête, gaz malodorants, anémie, fatigue chronique, dépression.

Blastocystis hominis

Ce parasite a longtemps été considéré non pathogène, c’est à dire n’étant pas source de problèmes. Aujourd’hui on peut remettre en cause cette allégation. Un laboratoire américain spécialisé dans la détection des parasites et connu pour sa technologie avancée le considère comme étant à l’origine de désordres intestinaux très fréquents. Il peut produire vomissements, perte de poids, insomnie, nausées, fatigue, vertiges, urticaires, dermatites

Dientamoeba fragilis

C’est un parasite très fréquent et rarement détecté parce que les techniques de laboratoire ne sont pas suffisamment performantes. Les symptômes sont la diarrhée et un inconfort abdominal. 

Cette liste pourrait s’étendre à un grand nombre d’autres parasites. Certains n’existaient que dans certains pays tropicaux mais aujourd’hui avec la multiplication et la facilité des voyages par avion contracter des parasites n’est plus un phénomène limité aux pays d’origine et aux seuls voyageurs. 

Les helminthes ou vers

Les plus répandus sont les nématodes qui se reproduisent par leurs oeufs. Dans cette famille on trouve les ascarides et les oxyures. Les ascarides, s’ils sont présents en très grand nombre, peuvent obstruer l’intestin. Chez les enfants ils peuvent donner les symptômes suivants : nervosité, mauvais appétit, douleurs du ventre avec diarrhée, problèmes respiratoires. Souvent les enfants infestés ne grandissent pas bien parce que les vers se nourrissent des aliments qui devraient nourrir l’enfant. Ce ver ressemble au ver de terre. Il est transmis à l’homme par le sol ou par des aliments contaminés par les matières fécales humaines. Les oxyures se trouvent principalement chez les enfants. Ce sont des petits vers blancs d’environ un cm de long. Les oeufs sont pondus sur la partie extérieure de l’anus ce qui rend la transmission facile à d’autres membres de la famille en cas de contact avec les mains. Les démangeaisons anales, comme pour d’autres parasites, en sont un signe distinctif. Un pédiatre américain, le Dr Leo Litter, a fait une étude de 2000 cas sur 10 ans. Il a trouvé que de nombreux symptômes qui normalement ne feraient pas penser à des parasites étaient associés à leur présence : problèmes de vue, épilepsie, perturbations des électroencéphalogrammes. 

Les cestodes dont font partie les différentes variétés de taenia ont une tête qui s’accroche à la paroi de l’intestin. C’est par la tête que le ver croît et grandit. C’est pourquoi lorsqu’on veut l’éliminer il faut veiller à éliminer la tête. Il existe le taenia du porc et celui du boeuf qui se transmettent à l’homme par les viandes contaminées et insuffisamment cuites. Le taenia du boeuf peut donner les symptômes suivants : diarrhée, douleurs abdominales, nausée. Le taenia du porc est beaucoup plus dangereux pour l’homme ; il peut migrer dans les muscles et les yeux et envahir le système nerveux central. Le plus grand ver de cette famille de cestodes est un ver plat présent chez certains poissons d’eau douce ; les symptômes sont essentiellement d’ordre digestif. 

Parmi les parasites qui peuvent envahir l’organisme humain, il en existe des dizaines d’autres et de beaucoup plus exotiques. 

Les symptômes liés à la présence de parasites

Un parasite peut vivre en bonne compagnie dans son hôte sans lui nuire. Dans ce cas on dit qu’il est un commensal. Tous les parasites ne sont pas pathogènes et un même parasite peut être tantôt commensal tantôt pathogène. Il y a quelques années par exemple, on pensait que le Giardia lamblia n’était pas pathogène.  Or aujourd’hui, on le considère comme étant un des plus importants agents parasitaires. Le fait qu’un parasite soit un commensal ou un agent pathogène peut aussi provenir du porteur. Il peut y avoir des porteurs sains. Une personne peut avoir été infectée mais avoir suffisamment de défenses immunitaires pour ne pas ressentir de symptômes.

Les symptômes ressentis lors d’une infection par des parasites sont liés à leur lieu de résidence dans l’organisme : 

– intestin grêle et côlon,

– sous la peau, dans le derme,

– muscles striés ;

– foie, poumon, cerveau, oeil, os ;

– muqueuses ;

– globules rouges ;

– système lymphatique ;

– vagin, prostate.

Certains symptômes sont spécifiques à certains parasites mais de nombreux symptômes sont communs à la plupart des infections parasitaires. Aujourd’hui on découvre des associations nouvelles entre certaines maladies chroniques et la présence de parasites. C’est le cas par exemple de certaines formes d’arthrite, de l’urticaire, d’une lenteur dans le développement mental de certains enfants, de l’allergie, de la fatigue chronique. Les thérapeutes (médecins ou non) passent souvent à côté d’un diagnostic de parasites pour plusieurs raisons. Traditionnellement on pense que ces organismes ne « s’attrapent » que dans les pays exotiques, or de nombreuses personnes n’ayant jamais voyagé dans ces pays peuvent avoir des parasites. Un autre phénomène peut se produire. Une personne ayant été infectée par un parasite peut se croire guérie parce que ses symptômes qui apparaissent par intermittence sans toutefois faire le lien avec le parasite contracté des années auparavant. Le diagnostic des parasites  peut être rendu difficile par le fait que nombre de symptômes peuvent être les mêmes que ceux d’autres affections et parce que tout simplement on n’y pense pas. Personnellement, je pense que c’est un domaine à prendre sérieusement en considération dès lors que persistent des symptômes après application de traitements qui normalement auraient dû améliorer la situation.

D’après différents auteurs on peut dresser la liste suivante des symptômes liés à la présence de parasites : diarrhée, constipation, ou alternance entre les deux, douleurs, gonflements et crampes intestinaux, brûlures de l’oesophage, selles et gaz nauséabonds, nausée, saignements du rectum, colites, maladie de Crohn, prurit anal, syndrome des intestins irritables, inflammations des intestins, vomissements, fatigue, anorexie, fatigue chronique, douleurs dans le bas du dos, maux de tête, maladie auto-immune, fièvre, gastrite, allergies alimentaires, démangeaisons et éruptions « bizarres » de la peau, urticaire, perte de poids, douleurs articulaires et musculaires, nervosité, perturbation du sommeil, grincements des dents. Le système immunitaire bien que dans un premier temps activé par la présence de parasites peut à la longue s’effondrer.

Pour certains médecins, l’action des parasites peut aussi être la cause d’un excès de poids :

Selon le Dr Elson Haas, M.D. directeur du California’s Preventive Medical Center of Marin, les parasites sont responsables de l’inflammation de la membrane du système digestif, ce qui a pour conséquence de perturber l’assimilation des nutriments essentiels, tels que les vitamines, minéraux, acides gras essentiels et autres nutriments nécessaires au bon fonctionnement hormonal assurant l’équilibre glycémique au métabolisme. Les parasites acidifient l’organisme et pour se défendre l’organisme se met à son tour à produire plus d’acides dans les cellules graisseuses et en ralentissant le métabolisme. Selon le chercheur Robert O. Young Ph.D., cela rend la perte de poids virtuellement impossible. Le Dr Dean, M.D., N.D. ajoute que le parasite produit des indoles catalytiques, et autres toxines, qui sollicitent fortement le foie et les reins. Ces organes finissent rapidement par être épuisés et cela conduit la personne atteinte à ressentir un état de fatigue, l’irritabilité et l’augmentation du poids.

Les maladies arthritiques et la parodontose

Il s’agit là de symptômes possibles de la présence de parasites qui sont peu connus. Roger Wyburn-Mason, MD PhD, a fondé en 1982 une association basée sur sa théorie selon laquelle les maladies arthritiques seraient causées par la présence d’une amibe. Il a écrit un précis très volumineux : The Causation of Rheumatoid Disease and Many Human Cancers : a New Concept in Médecine (La cause des Maladies Rhumatismales et de Nombreux Cancers : un Nouveau Concept en Médecine). Ce neurochirurgien a donné son nom à deux maladies du système nerveux, mais lorsqu’il a présenté à la communauté scientifique son nouveau concept et sa méthode de guérison de ces maladies réputées incurables, il fut rapidement mis à l’écart. Néanmoins des médecins adhérant à sa théorie ont réussi a obtenir un pourcentage de guérison de 75 à 80 %. Les traitements incluent des modifications nutritionnelles, la prise en compte d’allergies alimentaires éventuelles ainsi que la présence de candidose.  La base de sa théorie est la formation de complexes antigènes/anticorps, en la présence de toxines produites par ces parasites, entraînant la destruction des propres tissus de l’hôte.                     Une amibe ressemblant étrangement à l‘Entamoeba hystolitica et nommée Entamoeba gingivalis est un protozoaire qui peut être présent dans la cavité buccale de personnes souffrant de parodontose. Trevor Lyons, un dentiste et microbiologiste canadien, à écrit un manuel à l’usage des dentistes, chercheurs et autres professionnels de la santé mais aussi de toute autre personne ayant un intérêt pour le sujet et intitulé : Introduction to Protozoa and Fungi in Periodontal Infections : A Manual of Microbiological Diagnosis and Nonsurgical Treatment (Introduction aux protozoaires et champignons dans les infections parodontales : un manuel de diagnostic microbiologique et de traitement non chirurgical). Ce long titre est par lui-même explicatif. Trevor Lyons a développé une méthode pour déterminer avec précision la présence de cette amibe. D’après lui le prélèvement doit être fait au quart de millimètre près à la base de la poche d’infection sinon l’examen peut se révéler faussement négatif. Les signes cliniques d’infections par l’Entamoeba gingivalis sont la fabrication rapide de plaque dentaire, un goût désagréable dans la bouche, avoir « conscience » de ses gencives, saignements, ulcérations de la cavité buccale, une mauvaise haleine, des yeux irrités, fréquents maux de tête, fatigue, malaise général. Il a observé que l’éradication du parasite coïncidait, chez certains patients, avec une amélioration de la santé et notamment si le patient souffrait d’arthrite sous une forme ou une autre. Il conclut ainsi un article sur le sujet : « Le poids de l’évidence penche vers une forte probabilité que les protozoaires de la cavité buccale soient les principaux agents pathogènes de la destruction parodontale, et que les maladies parodontales ne sont pas seulement une maladie de la bouche mais qu’elles ont de sérieuses implications systématiques qui mettent parfois la vie en danger. »

Comment détecter les parasites 

Tout d’abord il faut y penser. Aujourd’hui tout thérapeute, devant la persistance de problèmes digestifs, devrait envisager une recherche de parasites. On pense plus souvent à le faire chez une personne de retour d’un pays d’Afrique ou d’Asie que chez une personne qui n’a jamais voyagé vers ces pays lointains. Or les parasites ne connaissent plus de frontières.     Un questionnaire détaillé de votre thérapeute concernant votre style de vie et vos symptômes peut le mettre sur la piste et le décider à faire une analyse de selles. Cette étape est la plus délicate pour diagnostiquer la présence de parasites. La plupart des analyses de selles sont notoirement inefficaces pour évaluer la présence de parasites. Ceci pour deux raisons. Tout d’abord les laboratoires ont tendance à rechercher seulement les parasites dont ils savent qu’ils peuvent être à l’origine de problèmes. Or aujourd’hui, on se rend compte que des parasites non considérés comme étant pathogènes peuvent l’être chez certains sujets dont les défenses immunitaires sont affaiblies. D’autre part leur technologie est souvent insuffisante. Il existe un laboratoire aux Etats Unis, qui est considéré comme un des leaders mondiaux sinon le leader pour la détection des parasites. Great Smokies Diagnostic Laboratory est un des rares laboratoires  à effectuer des tests fonctionnels. Ces tests sont un outil précieux pour le praticien qui souhaite aider son patient à détecter des anomalies dans le fonctionnement des différents systèmes de son corps. En particulier Great Smokies a développé un test fonctionnel du système digestif. Il va sans dire à la suite de la lecture de cet article que la présence de parasites compromet grandement ce bon fonctionnement ainsi que celui de l’organisme tout entier. Leur test de parasitologie utilise des procédures technologiques des plus avancées. Leur techniciens reçoivent une formation poussée qui leur permet la meilleure utilisation possible de ces appareils, procédures et techniques. Tout ceci réuni permet une optimisation du dépistage et de l’identification des parasites qui restent fréquemment non détectés par d’autres laboratoires. Il n’est pas inhabituel de trouver plusieurs parasites résidant simultanément dans un même intestin avec des bactéries et des levures pathogènes. Ce laboratoire reçoit des spécimens provenant de tous les Etats des Etats Unis ainsi que de 21 pays étrangers. Pour les pays d’Europe il existe un contact en Angleterre qui gère la distribution des kits de prélèvement ainsi que l’acheminement vers le laboratoire aux Etat Unis. Des tests sanguins sont également utiles. Des niveaux élevés de granulocytes éosinophiles (variété de globules blancs) peuvent être un indicateur de la présence de certains parasites. Une phosphatase alcaline élevée peut indiquer la présence d’amibes. La présence dans le sang d’anticorps élevés peut signifier que le corps est en train de combattre un parasite. Il existe aussi des tests d’urine, de salive, des analyses de prélèvements de tissus, des scanners, des cultures de micro-organismes qui peuvent être faits pour contribuer à la détection de parasites. 

Traitement naturel des parasites 

Il existe des traitements médicamenteux contre les parasites. Le Dr Louis Parrish, un médecin de la ville de New York, spécialisé dans le traitement naturel des parasitoses, affirme qu’aujourd’hui de nombreux parasites développent une résistance à certains médicaments antiparasitaires courants, et que de plus certains d’entre eux ont de sérieux effets secondaires. L’un d’entre eux favorise le développement des champignons de type candida, ce qui n’est certainement pas désirable. En présence de vers, il est souhaitable de faire un nettoyage intestinal à l’aide d’ Oxypowder. Des matières fécales sèches tapissent souvent la paroi intestinale emprisonnant les parasites. Il est nécessaire de débarrasser les intestins complètement pour que les vers puissent être complètement éliminés. Oxypowder a la capacité à entraîner les matière fécales desséchées en vue de leur élimination. Si vous n’avez qu’une selle par jour ou moins, vous pouvez considérer que vous êtes constipé. Deux à trois selles par jour sont souhaitables. Le complément alimentaire Oxypowder est souverain conte les constipations et agit comme un nettoyant du colon. 

100 grammes de graines de courge prises pendant 3 jours à cheval sur la pleine lune éliminent les vers. Ce serait en effet autour de la pleine lune que les parasites auraient une activité de vie intense.

Paratrex une préparation spagyrique composée de différentes plantes biologiques à effet antiparasitaires qui agissent en synergie et ayant un résultat très performant.

Pendant ou après le traitement il est nécessaire de recoloniser l’intestin avec des probiotiques de très bonne qualité. De nombreuses préparations ne contiennent pas suffisamment de bactéries pour avoir un effet. 

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